Qui a cru que le fait de ne pas porter un masque risque de nuire à notre santé ? Y a-t-il des raisons médicales qui justifient cela ? Quitte à créer la polémique, les médecins se trouvent encore entre le marteau et l’enclume. Avec ou sans masque, le risque est là. Absorption élevée de dioxyde de carbone (CO2), détérioration du système immunitaire …
Hypoxie, risque dans l’organisme
Par définition, c’est l’insuffisance d’oxygène dans les tissus pour assurer les fonctions corporelles. Il peut entraîner la mort dans ses formes graves, sans mesure préalable. Ceci concerne les personnes de santé fragile : personnes âgées, patients aux antécédents cardiovasculaires, les diabétiques insulinodépendants, les personnes présentant une pathologie chronique respiratoire susceptible, les malades atteints de cancer … Certains médecins confirment que cela dépend du type de masque utilisé. Les masques FFP2 ultra-filtrants ferment parfaitement le contour du visage, et provoque une légère baisse de la saturation en oxygène dans le sang. Visitez le site web
Détérioration du système immunitaire
Le masque barrière de type communautaire, l’appareil de protection respiratoire de type N95, … sont risqués en contexte de chaleur en milieu de travail. Le port fréquent de masque place l’organisme dans une incertitude : infection secondaire, problème de santé. Le manque d’oxygène libère du cortisol dans le sang, qui joue un rôle essentiel : équilibre du glucose sanguin, anti-inflammatoire, régulation du sommeil …
Fausses informations ou réalités ? Certains docteurs prouvent le contraire mais cela n’écarte pas les éventuels dangers. Tant qu’il n’y a pas de preuve irréfutable, appuyé par une enquête approfondie, le doute engendre toujours une confusion auprès de la population.
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