Le massif des Causses et des Cévennes fait partie des sites touristiques d’une des régions françaises. Elle fait partie de ces espaces qui ont une très grande valeur aux yeux de certaines institutions internationales. C’est le cas de l’UNESCO. Voici une présentation des différentes décisions prises par l’UNESCO par rapport à ces espaces.
Inscription au patrimoine culturel de l’UNESCO
C’est la plus haute distinction prévue par l’UNESCO pour la protection des espaces naturels. Et pour bénéficier de cette distinction, l’espace concerné a dû remplir un certain nombre de conditions déterminées. Pour être mieux éclairé, cliquez pour plus d'informations. Entre autres critères, l’espace doit être représentatif en matière de conservation de la biodiversité. Et sur ce point, les Causses et les Cévennes sont un véritable exemple. En dehors de ce critère, ils remplissent beaucoup d’autres critères qui justifient largement la décision de l’UNESCO de les placer au patrimoine culturel. Ce privilège est doté de certains avantages que nous aborderons un peu plus tard.
La conservation du lieu
Lorsqu’un site ou un espace est inscrit au patrimoine de l’UNESCO, il est d’emblé protéger par l’UNESCO. En effet, l’institution se porte garante pour veiller à la conservation du site. Il s’agira notamment de mettre en place le cadre juridique nécessaire pour punir toute violation de site. Mais également de mettre en œuvre les politiques de gestion nécessaire pour maintenir le site dans son état normal. Pour le cas des sites Causses et Cévennes exemple, il faut s’assurer que tout risque d’incendie soit écarté. Même s’il est vrai qu’il s’agit d’une verdure, il n’en demeure pas moins qu’ils sont exposés.
Assurer la communication autour du lieu
L’autre avantage non négligeable est qu’une politique de communication est mise en place. Cela permet entre autres d’informer et de sensibiliser la population sur la nécessité de protéger le site. Cette vague de communication permet notamment d’éviter toute action pouvant nuire à l’intégrité du site. Aussi bien la population que l’UNESCO s’en sortent gagnantes.